5 questions à Sarah Ourahmoune
Vice championne olympique de boxe 2016 Présidente et co-fondatrice de Boxer Inside
Pour se développer, il faut privilégier la croissance organique.
1Comment vous ressourcez-vous ?
En passant du temps avec ma famille : balades, repas, sorties diverses. C’est auprès de ma fille de 2 ans et de mon mari que je puise l’énergie et l’envie de faire pleins de choses.
2Le film qui vous donne la pêche ?
Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu. Ce film m’a fait beaucoup rire. Il est frais, plein d’humour. Il fait du bien.
3L’appli dont vous ne pouvez pas vous passer ?
Je suis complètement accro à Twitter. J’aime l’efficacité et la rapidité de cette appli. C’est l’outil de veille le plus rapide et pratique que je connaisse. Il permet de suivre l’actualité de son secteur et ses concurrents, faire sa communication et créer du lien.
4Vous repartez de zéro, quelle erreur ne commettez-vous plus ?
Je veillerai à ne pas faire de dépenses inutiles trop tôt. Quand j’ai créé Boxer Inside, très vite, j’ai dépensé pour mes cartes de visite, du matériel de boxe en grosse quantité et des goodies à offrir aux clients. Je pensais que c’était nécessaire pour communiquer autour de mes activités. Grosse erreur. Quand on débute, notre budget est serré. Il faut privilégier la croissance organique. D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart de ces achats restent au fond des placards.
5Si vous quittiez la France, dans quel pays aimeriez-vous vivre ?
J’ai porté les couleurs de la France dans les plus grandes compétitions internationales de boxe pendant près de 18 ans. Je suis très cocorico ! Je ne me vois pas vivre ailleurs… Mais si je devais vraiment partir, j’opterais pour l’Australie… Pour la qualité de vie que l’on peut y trouver.